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20 mai 2001 7 20 /05 /mai /2001 06:55


 

Transmis par Olga et Christina


Olga me fait part de cette info qui ressemble beaucoup d’autres!  Malheureusement la mondialisation des déportations est un fléau qui avance.

Je ne sais pas si des actions sont prévues mais ça s’annonce mal vu que le papa canadien en profite pour avoir la garde du bébé à temps complet et que son avocat le préconise car « c’est mieux pour l’enfant »


 

La deportación puede obligar a joven colombiana a dejar su bebé en Canadá

 

Toronto (Canadá), 29 dic (EFE).- Una joven colombiana, cuya deportación ha sido ordenada por las autoridades canadienses, espera ansiosa la decisión de un tribunal para saber si podrá llevarse a Colombia a su bebé de 10 semanas cuya custodia ha sido solicitada por el padre.

Jessica Aristizabal, de 19 años, junto con su madre, hermana y tía, tenía previsto ser deportada el próximo 2 de enero después de que las autoridades canadienses rechazaron su solicitud de refugio en el país norteamericano.

Pero Jessica dijo a Efe que la disputa legal por la custodia de su hijo, Jonathan, de 10 semanas de edad, con el padre del bebé, Daniel Ricardo Velasquez, de 21 años de edad, ha dejado la orden de deportación en suspenso al menos hasta el 6 de enero, cuando está prevista una vista judicial.

"Nos dijeron que la deportación era el día 2 pero lo detuvieron ahora por lo de la corte", dijo Jessica.

Velasquez, que tiene la ciudadanía canadiense, ha solicitado la custodia de Jonathan a los tribunales argumentando que es mejor para el bebé el permanecer en Canadá ante la inminente deportación de su madre.

El abogado de Velasquez señaló en su escrito ante el juez que "cree que sería lo mejor para el niño que él tenga la exclusiva custodia".

En caso de que el juez decida conceder la custodia de Jonathan a Velasquez, Jessica perderá toda la esperanza de ver de nuevo a su hijo.

"Me preocupa mucho la deportación pero lo que quiero ahorita es tener a mi hijo, que no me lo quiten. Esto es lo que yo anhelo", aseguró Jessica.

"No es justo de porque no sea canadiense me vayan a quitar el bebé", añadió.

La familia Aristizabal llegó a Canadá a través de Estados Unidos en 2008. Jessica dijo a Efe que la familia huyó de la localidad colombiana de Pereira, en Risaralda, después de que las Fuerzas Armandas Revolucionarias de Colombia (FARC) asesinaron al hermano de su madre que trabajaba para el Gobierno colombiano.

"Mi mamá y mi tía tenían mucho miedo de que les fuera a pasar algo y huyeron. Pero Canadá dijo que no había suficientes evidencias (para justificar la concesión de refugio a la familia) y por eso nos van a deportar", explicó la joven colombiana.

"Si nos deportan, no sé. Mi mamá tiene mucho miedo de ir a Colombia", continuó.

Desde que llegaron a Canadá, las cuatro mujeres han estado trabajando y no han tenido ningún problema con la Justicia canadiense. La propia Jessica trabajó hasta el último mes de su embarazo.

La madre de Jessica, Claudia, trabaja en la actualidad en la escuela Corpus Christi de la localidad de Burlington, a unos 60 kilómetros al suroeste de Toronto.

La escuela ha prestado un gran apoyo a la familia Aristizabal y hasta el momento ha recaudado 4.000 dólares para sufragar sus costes legales.

Agencia EFE

http://co.noticias.yahoo.com/deportaci%C3%B3n-obligar-joven-colombiana-dejar-beb%C3%A9-canad%C3%A1-221800308.html

 

 

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Jessica Aristizabal Calrasco, 19 ans, affirme qu'elle a rompu avec le père du bébé en mai après avoir refusé un avortement.

NICHOLAS KEUNG / TORONTO STAR

 

 

 

La déportation pourrait obliger une jeune colombienne à laisser son bébé au Canada

Toronto (Canada), 29 déc. (EFE).-

Une jeune Colombienne dont la déportation a été ordonnée par les autorités canadiennes attend dans l’anxiété la décision d’un tribunal pour savoir si elle pourra emmener en Colombie son bébé de 10 semaines dont la garde a été demandée par le père de l’enfant.

Jessica Aristizabal, âgée de 19 ans, ainsi que sa mère, sa sœur et sa tante doit être déportée le 2 janvier après le refus des autorités canadiennes de la demande d’asile dans ce pays.

Mais Jessica a déclaré à Efe que la procédure légale pour la garde de son fils, Jonathan, âgé de 10 semaines, entamée par le père du bébé, Daniel Ricardo Velasquez, âgé de 21 ans a laissé la déportation en suspens au moins jusqu’au 6 janvier, date à laquelle doit se dérouler le procès.

« On nous a dit que la déportation aurait lieu le 2 janvier mais cela a été reporté en raison du procès », dit Jessica.

Velasquez, de nationalité canadienne, a demandé la garde de Jonathan auprès des tribunaux en plaidant que c’est mieux pour le bébé de rester au Canada vu la déportation imminente de la mère de l’enfant.

L’avocat de Velasquez a signalé dans son plaidoyer auprès du juge qu’il estime que « ce serait mieux pour l’enfant que le père en ait la garde exclusive ».

Au cas où le juge trancherait en donnant raison à Velasquez et en lui donnant la garde exclusive de Jonathan, Jessica perdra tout espoir de revoir son fils.

« Je suis très inquiète à cause de la déportation mais ce que je veux maintenant c’est avoir mon enfant, qu’on ne me l’enlève pas. C’est ce que je veux vraiment, assure Jessica.

« Ce n’est pas juste qu’on m’enlève mon bébé parce que je ne suis pas canadienne », ajoute-t-elle.

La famille Aristizabal est arrivée au Canada en passant par les États-Unis en 2008. Jessica a dit à Efe que la famille a fui la ville colombienne de Pereira, à Risaralda, après l’assassinat, aux mains des Forces Armées Révolutionnaires de Colombie (FARC) du frère de sa mère qui travaillait pour le gouvernement colombien.

« Ma mère et ma tante avaient très peur qu’il leur arrive quelque chose et elles se sont enfuies. Mais le Canada a dit qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves (pour justifier que l’asile soit accordé à la famille) et c’est pour ça que nous allons être déportés », a expliqué la jeune colombienne.

« Si on nous déportent, je ne sais pas. Ma mère a très peur de retourner en Colombie », ajoute-t-elle.

Depuis leur arrivée au Canada, les quatre femmes ont travaillé et n’ont eu aucun problème vis-à-vis de la Justice canadienne. Jessica a même travaillé jusqu’au dernier mois de grossesse.

La mère de Jessica, Claudia, travaille actuellement à l’école Corpus Christi de la ville de Burlington, a quelque 60 kilomètres au sud-ouest de Toronto.

L’écoule a prêté tout son soutien à la famille Aristizabal et a collecté jusqu’à présent 4 000 dollars pour subvenir aux frais judiciaires.

Agence EFE

http://co.noticias.yahoo.com/deportaci%C3%B3n-obligar-joven-colombiana-dejar-beb%C3%A9-canad%C3%A1-221800308.html

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Voir :


http://www.thestar.com/news/investigations/immigration/article/1102188--infant-caught-in-custody-dispute-as-mother-faces-deportation

 

 

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